
Dans une lettre à Mihail Jora du 4 novembre 1943
À Lucerne j'ai eu le bonheur de rencontrer Edwin Fischer, dont l'immense personnalité m'a complètement conquis. Il a joué devant moi, moi j'ai joué devant lui et j'ai découvert qu'avoir passé quelques instants avec cet enthousiaste de la musique, a été pour moi une vraie bienfaisance. Avant de nous séparer, il m'a promis qu'il me recevrait à tout moment et qu'il est à ma disposition pour quelque question que ce soit.